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Marlène toute de bandeaux vêtue, fraichement couvert de pommade qu'elle ne s'était pas génée de récupérer dans la toilette personnelle de la Reine, rentrait chez elle.
Elle rentrait en sa pauvre demeure en freudonnant encore quelques refrains de chanson qu'elle et tout le peuple de Paris avait chanté lors de la prise du Château.
Elle souriait radieuse et toute fière de che qu'elle avait faite aujourd'hui. C'est avec ce sourire qu'elle entra chez elle et qu'elle fut acceuillit par son mari qui venait surement de rentrer à l'instant lui aussi. Il tenait encore d'ailleurs un fusil qu'il avait due dérrober à l'un des membres de la garde national dans les mains. Dès qu'il vit revenir sa femme, il posa son arme pour aller la serrer fortement dans ses bras. Il lui pris le visage et il embrassa plusieurs fois ses joue en lui disant :


-"Tout vas changer ! Tout vas changer !"


La femme regarda son mari dans les yeux et elle lui dit "oui" en hochant la tête avant d'elle même l'embrasser tendrement. Le mari pris sa femme dans ses bras et ils allèrent ensemble s'installer sur un petit tonneau de bois. Après avoir de nouveau embrassé plusieurs fois les joues de sa tendre épouse, il lui demanda :


-"Ô Marlène ! Racontes moi le doux récit de tes exploits !"


La jeune femme ce mit à rire et elle répondit ainsi à son mari :


-"Ce ne fut pas si doux que cela, on a due casser du garde mon chérie !"


L'homme incista, vantant les talents de naration de sa femme. Marlène qui aimait ce faire désirer embrassa son mari, elle s'installa confortablement sur ses genoux pour le suspence et enfin, elle ne ce fit plus prier. Elle conta alors à son mari la montée de la foule jusqu'au château des tuilleries, sans oublier les chants révolucionnaires qui les avaient poussés à être plus combatifs, et à aller de l'avant dans la lutte. Elle n'oublia pas de préciser l'affrontement sanglant avec la garde national.



-"Les balles fusaient de partout et le sang coulait à flot !" cria-elle !


Elle expliqua qu'avec la ferveur et l'angouement du peuple, ils avaient vaincues leurs énnemies.


-"Ce fut comme-ci tout le monde avait oublier son père, sa mère pour rejoindre ses frère ! Comme-ci chacun avait oublier son coeur, ses moeurs pour combattre ensemble, tous unis pour boire le sang de ses énnemies !" commenta-t'elle.


Son mari qui quand à lui avait combattut plus loin la garde nationnal lui demanda de nouveau :


-"Et toi mon amour, tu étais au milieu de tout ça ?..."


-"Ne crois pas que c'est parce que je suis une femme que je ne me suis pas battue ! J'ai tué moi aussi !" rétorqua-t'elle un peux véxée.


Elle raconat alors comment elle avait ramassé un fusil sur un cadavre encore fumant et qu'elle était ensuite parti au combat comme une guerrière. D'ailleurs, malgrès ses bandeaux, l'allure de sa robe ne mentait pas, elle était couverte de trou et de sang coagulé.


-"Et après avoir vaincue la garde, qu'avait vous fait ensuite ?" Deamnda le mari impatient.


-"Une minute, j'y viens !"


Elle raconta ensuite qu'il avait été dure pour elle et ses frères de prendre le château d'assault, ne s'arrêtant pas de parler des coorps qui tombaient et dont le sang abreuvé le sol fracassé pour la liberté et la vengeance.


-"Plus les gens tombés, plus il en sortait de partout, c'était de la folie !"


Ensuite elle conta l'entré dans le château, et la joie qu'ils ce sont fait à tout détruire. Elle précisa que c'était dans la chambre de la Reine qu'elle avait "trouvé" ces bandes et qu'elle avait soigneusement recouverte de pommades. Car malgrès le fait qu'elle était devenue pendant un court instant une guerrière sanguinaire, elle n'en restait pas moins une femme. C'est pourquoi, son mari éclata de rire quand elle lui dit cela. Il lui pris ses joues et il l'embrassa de nouveau.


-"Tout vas changer ma chérie ! Tout vas changer !"


L'espoir était désormais présent dans cette chaumière et dans celle de toutes les autres, la victoire fut difficile à obtenir, mais ce sacrifice a était nécéssaire pour la libertée, l'égalitée et la fraternitée il ne faut pas l'oublier !...