[RPG Halloween] Soirée pour tous chez Enki !

Oh putain le bordel de merde. LE PAUVRE MEC QUE JAI ECOUILLER ! J’aime bien faire le sadique et écouiller et ébiter les gens. En gros leurs couper la queue et les burnes. En générla ça leur apprend toute l’utilité que cela avait auparavant et ils l’ont bien entre les fesses par la suite. Moi j’aime bien me foutre de la gueule de tout le monde, en particulier des mecs ! Puisque moi, mes blessures se referment. Alors même si on me coupe ma queue, elle revient. HOP DANS VOS CULS LES POUILLEUX ! Héhé Jashin me donne le pouvoir de la faucheuse, autant en profiter. J’suis immortel et j’emmerde le monde ! Le pauvre mec moche grimaçait affreusement : en même temps ça doit pas lui faire du bien vue la tronche de cake. Tous les gens se foutaient de sa poire, moi le premier bine entendu fallait p’tétre po croire que j’allais m’excuser ! Après tout, cet abruti s’amusait aussi à emmerder les autres, j’lui rendais son dû hoho et il a l’air d’avoir comprit. Une fois qu’il fut sortit, je fis lançais aussi ses vêtements dehors : c’était moche comme lui, autant s’en débarrasser. Quand se massacre fut terminer et que je retournais à ma place, Crystallis me raconta une époque lointaine de sa vie. J’apprenais qu’elle avait rencontré son ex-mari grâce à son père qui était bon ami du Roi. Putain l’enculé ! Elle m’indiqua que le mec capuchonner c’était son fils. Dommage que je ne voyais pas sa tronche. En tout cas, il n’avait pas bien l’air d’aimer sa mère plus que ça. Par la suite, elle dit que son ancien mari pensait que des relations trop fortes entre une mère et ses enfants étaient mauvaises. A ce moment, son visage prit une teinte furieuse et ses doigts serrèrent son verre. Visiblement, leur père ne voulait que le mieux pour ses fils… mais du mauvais sens. Puisqu’il s’était débarrassé de Crystallis d’après elle. Un vrai fils de pute quoi ! En gros ça me faisait penser à un mec de mon époque, le mec qui était dans Tobi. Ouai, en réalité c’était qu’un gros enfoiré de merde. C’est alors qu’elle posa sa coupe et se leva. Elle me dit qu’elle allait prendre l’air, partant jusqu’aux escaliers menant au balcon. Warui fit apparaitre un de ses illusions de merde que je n’avais pas cerné dès le départ – je pensais que c’était une animation pour la nuit. Les squelettes signé Warhuitre venait faire chier leur monde, comme lui. Je fis un doigt à l’un d’entre eux qui avait débité une connerie par rapport au Chef de l’alliance et moi-même. Un robot avec une tronche d’alcoolo arriva au comptoir et le dénommé Cooler ne semblait pas trop apprécier le vacarme. Quant au gamin, il alla commander une boisson au bar. La meuf que j’avais ramenée au bar s’était planquée, visiblement ça allait mieux une fois entourée de queues !
Un monstre gigantesque se ramena : un nouveau de l’alliance ! Il commanda un alcool super fort, se ramenant avec un sac plein de sang qu’il ouvrit : des restes d’humains dedans. Il ingurgitait les restes, comme si cela était goûteux. Burk. Il me parla par pensées, certainement que je ne fus pas la seule personne concernée. J’allais alors le voir et je lui fis un signe de main tout en gueulant :

- Et ben mon grand, t’as fais la bonne pioche ! Super ta bouffe d’halloween, fou un peu de sauce dessus ça doit être sec quand même !

Je lui fis un gros sourire, le sang qui dégoulinait pas très gracieusement m’éclatait. Un mec aux cheveux noirs et moche – ya que moi de beau quoi ! – arriva avec un costume zarb. Un autre gamin arriva, laid comme mon cul évidemment et fit un sourire à la meuf maigrichonne qui s’était planquée. Ensuite, Daisuke me caressa le cul. Putain ce pd ! Il rigolait en plus la tafiolette ! Je me retournais vers lui :

- Putain enfoiré tu m’as fais peur l’histoire d’une seconde ! Enculé va, dis-je en riant. Bon le pd et la demoiselle, moi je vais suivre Crystallis !

Je buvais mon saké d’un coup avant de lancer, en gueulant une fois de plus :

- Presse-moi les noisettes et sers-moi un milkshake héhé !

Tout en riant, je partais en haut. Une fois là-bas, j’aperçus la belle jeune femme au balcon, son regard perdu dans le néant. J’arrivais à côté d’elle, m’accoudant sur le balcon forgé. La nuit était étoilée, la lune ronde, et quelques nuages passaient parfois. On voyait tout ceux qui arrivait d’ici et la vue était merveilleuse, tout comme celle qui était à mes côtés. Le fait qu’elle m’ait parlé de sa vie aussi facilement, relevait du fait qu’elle devait se sentir en confiance avec moi. Même si comme ça je parais un gros connard de merde…

- Je vois que cette histoire vous a beaucoup toucher. Je sais que c’est difficile l’amour… et il y a tellement de tristesse et de bonheur dans ce sentiment… pourtant, j’ai l’impression qu’on est obliger de passer par de mauvaises étapes pour nous mettre la réalité en face. Moi aussi, j’ai vécu il y a très longtemps, un amour étrange. Mais je ne me rendais pas vraiment compte des sentiments à l’époque, moi qui ne m’étais fais élever que dans la haine que me portait mes parents. Mais cela ne me fait pas souffrir en faite… j’ai toujours eut une seule envie… celle de les envoyer en enfer.

Je disais ça sans expression particulière… tout ça n’étais qu’une mauvaise étape de ma vie. Il faisait plutôt frais d’ici et la jeune femme n’était pas beaucoup couverte. Du coup, j’enlevais ma veste pour la poser sur les épaules de cette belle dame. Je n’avais pas vraiment fait attention, mais ses courbes et son corps était parfaitement lisse, comme la jeune blonde. Peut-être cela était-il caractéristique de certaine race, mais je ne pouvais m’empêcher de penser que la dame m’accompagnant en ce moment était spéciale. Spéciale, mais si jolie, si gracieuse dans ses manières, si adorable quand elle était avec moi, que cela m’apaisait la conscience et que je n’avais aucune envie de débiter des bouletteries comme à l’habitude. Tout en déposant ma veste sur ses épaules, je la tournais doucement vers moi pour qu’elle me regarde. Je posais mes mains sur ses épaules, alors que je m’étais rapproché de Crystallis. Ses yeux démontraient le fait qu’elle soit anéantie intérieurement. C’était une femme déchiré.

- J’peux pas comprendre réellement ce que vous ressentez… les hommes et les femmes perçoivent certaine choses différemment. Cependant, votre ex-mari n’est qu’un putain d’enfoiré de fils de pute. Je me demande comment est-ce que vous faite encore pour vivre… Moi, je ne voulais plus vivre… je suis resté très longtemps inanimé. Une femme ne devrait pas avoir à supporter un tel poids sur ses épaules… En remarquant mon expression vulgaire, cela me fit échapper un petit rire. Ahhh désolé, les mauvaises habitudes ressortent. Je lui souriais, puis je caressais ses épaules pour la réchauffer. Si vous avez froid, vous pouvez vous coller contre-moi. J’suis un chauffage vivant. En y réfléchissant à deux fois, mon expression pouvait avoir un double sens. Merde le con ! Héé, désolé, j’espère que ça ne vous choque pas. C’est pas pour essayer de vous attoucher, sinon j’aurais agit comme Warui. C’est que j’sais pas pourquoi mais vous êtes une personne si agréable… je me sens vraiment bien là, à parler avec vous. Je ne parlais avec personne à part Kakuzu, avant…

Mon regard brillait. Pourquoi est-ce que je sentais mon cœur se congeler ? C’est en repensant à un passé qui ne m’a pas vraiment accorder clémence, j’imagine. Et cette changeforme… qui portait le même regard attristé.