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 Mon royaume pour un bretzel [PV: Marcos Smith]

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Marcos Smith
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MessageSujet: Re: Mon royaume pour un bretzel [PV: Marcos Smith]   Mon royaume pour un bretzel [PV: Marcos Smith] - Page 2 ClockVen 12 Mai 2023 - 11:39
Alors, économiquement, on parle d’investissement. Une seconde, d’où qu’il allait avec ça ? Nnn… Nnggh ? Oui, oui, c’est bon, il, c’est bon, il s’en rappelle. C’était l’histoire de foutre les jetons à ceux qui voyaient leurs potes se faire éclater. Ouiii. Il aimait ça. Il aimait bien faire ça. Faire peur. Faire peur à ceux qui font peur. C’était un truc qui fait bien tripper, ça. Alors, psychopathe et sociopathe qui veulent venir enculer un monde qui leur appartient pas, on a envie de faire caca ? On veut pisser dans son futal ? On veut – p’tain il a dit bozo ? IL A DIT BOZO ?! IL Y EN A ENCORE QUI UTILISENT “BOZO” ? Incroyable. Incroyable. Franchement, on s’agenouille. I kneel, comme ils disent.

”Hin, hin, hin hin hin, hin…”

Par bouffée d’air il se mit à ricaner, sans rythme ni… euh, rythme. Dans tous les cas, il aimait bien que Gears aime bien, parce que ça voulait dire qu’ils réfléchissaient bien plus en mode same brain qu’il l’aurait cru. Mais parlant d’investissement économique, l’objectif, l’objectif c’était de faire peur à tous ceux qui allaient se faire hagra. L’objectif c’était que le premier mec s’en prenne tellement et douloureusement plein la gueule que le reste voudrait pourrait même plus se dire “nyeh heh heh je vais pouvoir tester mes capacités” comme un imbécile camé à la rivalité d’anime. Tu vas souffrir, fils de pute, et les autres ils vont arrêter de venir faire les malins. On n’est pas dans Undertale, on est pas dans Omori. On est dans Modern Warfare, frérot, on se… ouais ? Pour que le monde reste… voilà. Oui. Prout.

Okay. Des poings américains. Gears pouvait le faire. Mais le truc, c’était - y ajouter quoi ? Oh. Shotgun punch. Shotugunu panchu. Tellement débile, frérot, ça pouvait sonner que mille fois trop fun. Exosquelette ? Nah, il voulait pas de power armor. Il avait jamais aimé Fallout et, et, euh, l’autre, là, Starhammer ? Le truc avec les gros cosmonautes avec des kalash, là. Roh, la flemme d’y réfléchir. Pas d’exosquelette. Oui, c’était ça la conclusion. Nique. Les. Exosquelettes. Mais le shotgun punch c’était pas mal. C’était cool les shotguns. C’était du corps-à-corps dans les jeux-vidéos. C’était la majorité de ce que Marcos savait dessus, à l’heure actuelle.

”Nice, nice – t’imagines un, genre, un grappin. Un grappin qui transforme en menottes ? Ramener l’ennemi au corps-à-corps pour que je lui pète la gueule carj… car j’ai… euh, j’ai pas les -- il fit une pause pour laisser sortir une bouffée d’air moins audible que les puissants rots de l’ingénieur, -- la, la portée. J’ai des problèmes de portée, parfois, et j’aimerais forcer les ennemis à venir à moi.”

Tuer. Marcos n’avait jamais tué avant. Mais maintenant, là, tout de suite, il n’en aurait pas grand chose à faire d’ôter des vies. Il voulait tout simplement faire souffrir les puissants et les surpuissants de ce monde. Casser les gueules de ceux qui sont nés avec trop de chance dans les couilles leur permettant d’avoir l’eugénisme qui leur faisait faire des fights planétocides. Hé hé, cidre. C’est alors que Gears se mit à gueuler qu’il allait le lui dire !!

”OUAIIIIIIIS-OOOH !!”

Il aimait pas, après un rototo, se battre. Il aimait pas battre, plutôt, mais il adorait les sensations du combat, l’idée de risquer de crever à la moindre erreur, les situations qui le forçaient à réfléchir à cent pourcent. C’était bien, ça, c’était très bien. L’intensité cérébrale qui lui permettait d’être à son apothéose dans une situation de vie ou de mort, c’était quelque chose que Marcos connaissait bien aussi. Mais il aimait pas que l’ennemi fasse le fils de pute à chorégraphier du Devil May Cry dans les airs face à un mec qui jouait à Gears of War dans sa combie de la mort qui tue. Il voulait caser des grosses infrastructures, pas danser dans les airs. C’était compréhensible. Marcos, lui, il voulait les prendre et les fracasser sur le sol comme les trucs avec des gros bras de Left 4 Dead.

Ah ah, Devil May Cry, Dante était giga BG dans ce jeu.

”C’est pas un, un, sau- merde ! Souci ! C’était – C’EST ! C’est ! pas… un souci, si le mec en face il fait le malin, du moment que c’était pas pour buter des gens, pour se la jouer le mec le, le plus puissant de la galaxie. Ils font les malins parce qu’ils fight des combats qu’ils sont sûrs de gagner, et quand ça tourne au vinaigre, ils disent “nyaraeheaheneyheh j’avais prévu tout ça” puis ils poussent leurs lunettes sur le pif et ils se téléportent.”

Puis il vit Gears regarder dans le vide comme s’il avait eu la plus grande des révélations après le reste de son speech, avant de tenter de se lever de son siège et de se casser la gueule avec une dignité qui ne pouvait être qualifiée que de négative.


Marcos se mit à ricaner, un rire étouffé qui ressemblait aux couinements de Diabolo dans les vieux dessins animés, avant de présenter ô combien il était matrixé par les bruits rigolos qu’il pouvait trouver sur internet.

”HaaaaaAAAAAAAaaaaan.”

Il le regarda alors s’avancer jusqu’au cockpit, difficilement. Clignement irrégulièrement des yeux tout en arquant son coup vers l’arrière, un grand sourire sur son visage causé par le recrutement de Gears. C’est alors qu’il se rendit compte qu’il pourrait lui aussi avoir du mal à marcher, après être descendu pour chopper la caisse à bière pour suivre Gears dans son voyage. Epique fut la traversée, car Marcos tanguait comme un bateau dans une tempête. Titubant donc comme un penguin, il parvint, sans tomber plus de deux fois de suite, protégeant de sa vie le pack à l’aide de son immense taille. Il parvint à rejoindre son nouveau poto, qui lui demanda alors comment qu’ils recruterait plus de monde. Marcos se frotta le visage de l’une de ses mains libres.

”Dösatz ?”
 
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